Performance
Création 2016 – Premières

Déconseillé au moins de 12 ans
Des images de ce spectacle peuvent heurter la sensibilité de certaines personnes

Photo : Bouche à Bouche

Provocante et joyeusement délurée, Marie-Do Fréval interprète 5 facettes d’une impossible « Marianne » qui, sortie de son plâtre, vient nous parler publiquement. Avec cette performance, elle met en jeu son corps d’actrice et sa capacité ou pas, à résister. Tout va très vite et les 5 personnages poético-politiques, inventés de toute pièce, se succèdent dans un temps limité.

De et par Marie-Do Fréval
Conseil dramaturgique : Olivier Comte
Regard extérieur : Léonor Ilitch
Costume : Magali Castellan
Plasticienne : Marianne Millet
Régisseur : Léandre Simioni

Projet soutenu par le Moulin Fondu, Centre national des arts de la rue
_ _ _ _ _

Durée : 1h
Square Saint-Martin

– Billetterie gratuite – nombre de places limité : elles sont à retirer le jour-même au point info du festival (village du festival – Terrain des Mûriers, Pastille A) au plus tard 45 min avant le début de la représentation.
Pour les représentations de samedi 21 mai à 20 h et de dimanche 22 mai à 11 h 30 (et pour celles-ci uniquement) : les places peuvent être réservées à partir du 2 mai : contact chez oposito.fr / 01 48 02 80 96
_ _ _ _ _

Compagnie Bouche à Bouche
Paris 14e (75)

À la rencontre entre théâtre et arts de rue, La Cie Bouche à Bouche crée des spectacles contemporains et décalés. Chantants et grinçants. Graves et loufoques. Des créations où le public devient héros ! Une urgence à parler le monde contemporain, à repousser les cadres et à s’inscrire dans l’espace public. Son univers est nomade, franchit les barrières, voyage de la salle à la rue, sans domicile fixe.
www.cieboucheabouche.com

Soutenu par Confluences - Lieu d’engagement artistique, Orphéon Théâtre, Le Moulin Fondu - Centre National des Arts de la Rue (Noisy-le-Sec), Magma Performing Théâtre.
La compagnie Bouche à Bouche est conventionnée par la région Ile-de-France et soutenue par la ville de Paris, la DRAC et la réserve parlementaire