– les Métronomes mobiles
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– Acte 1 : le divan de la diva
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– Acte 2 : au balcon de Juliette
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– Acte 3 : scène du banquet et arrivée de Carmen
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– Acte 4 : les tours des deux hommes en colère
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– Acte 5 : arrière de la scène finale
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C’est un gros chantier ...
Ce qui est complexe, c’est qu’il y a la construction mais aussi le chargement. Il faut penser montage sur place, avec largeur maximale de 2 mètres pour les volumes, à cause des camions. On va transporter des "arcs de triomphe", des pièces de 3 mètres de large sur 4 mètres de haut et 4 mètres de long. Elles vont aller d’un endroit à l’autre pour être positionnées dans un endroit qui ne sera pas forcément définitif. Tout se joue une heure avant le spectacle, avec les exigences de fermeture de rue, de gestion du public ...
Tous ces paramètres de montage, démontage, chargement en un temps record... ça prend du temps !
Durant le spectacle, tout se fera "à vue" ...
L’agitation technique fait partie du spectacle. Le dedans, le dehors, l’envers et l’endroit du décor, toute la scénographie a été pensée dans cet esprit de "partie technique impérativement visible". La partie déco existe aussi parce qu’elle est à plus de 1m60 du sol, à hauteur des yeux.
Le public, on lui fait "une totale", il y a tous les cas de figure dans son positionnement. Chaque acte propose un espace de jeu et une vision différente. On passe d’une scène à 360° à une image au bout d’une avenue, à 180° ... La jauge du public est de 3500, je ne souhaite pas qu’il y en ait 5000, mais bon ... on peut faire, toujours ...
Comment se passe la rencontre avec les techniciens lumière et son ?
C’est la première fois que je suis confronté à autant de précisions techniques, je suis en train d’emmailloter du son. Disons qu’on fait la même guerre, mais moi, je suis un mercenaire ... Le pari de ce spectacle, c’est d’avoir une qualité de son et d’éclairage. Etre en rue comme si on était dans n’importe quel opéra, c’est l’exigence maîtresse. Il faut faire en sorte que l’on ne voit ni les hauts-parleurs ni les projecteurs, quand je fais un réverbère avec des volutes, c’est plus pour cacher les projecteurs... Actuellement on ne trouve pas le projecteur avec le volume désiré, donc ... théâtre de rue, oblige, on achète des phares de 2 CV et on les équipe ..
Croquis et dessins de recherches accoustiques, étude réalisée par Patrick Woindrich, sonorisateur du spectacle "A la vie à l’amour !"
jeudi 26 octobre 2006